BLOGOMA POUR LA LIBRE EXPRESSION GARANTIE POUR TOUS
Organisée
à Goma pour
différentes parties prenantes,
la blogosphère Gomatracienne espère offrir la libre expression à la "majorité
oubliée" et aider la
masse à s'approprier l'espace civique.
Certes,
l'accès à l'espace publique pour exprimer son opinion n'a pas du tout été une
garantie et de ce fait, une similarité avec un luxe s'est vite fait observée vu
ceux qui s'y expriment, ce qu'ils y expriment au nom de la cause pour laquelle ils s'y expriment
aussi.
L’espace
publique étant un domaine pour la société entière, ce qui s’y dit ne semble,
hélas, pourtant pas rencontrer l’assentiment de la majorité. Les occupants des tribunes d’expression populaire
ne semblent, non plus, être
préoccupés par les causes de la communauté entière.
Un espace jadis peint à une
certaine couleur
Des
politiciens et autres leaders d’opinions se sont appropriés l’espace publique
pour d’autres fins au détriment des maux qu’ils étaient appelés à dénoncer enfin d’être éradiqués.
Pire
encore, les quelques espaces encore accessibles par une minorité de la majorité
délaissée ne sont pas du tout ouverts à toutes les bourses et sont souvent
menacés par un pouvoir qui est censé de les préserver même lorsque les opinions
qui y sortent semblent être richement diversifiées et susceptibles de
bouleverser une tendance quelconque pour le bien collectif.
La
majorité se retrouve alors délaissée, ne sachant plus à quel saint se vouer,
finit par vivre passivement un cauchemar qui ne pouvait peut-être pas faire
partie de son vécu quotidien.
La pierre de l’espoir enfin
extraite pour la masse désespérée
Peu
importe son rang social, son appartenance politique, son niveau d'étude ou tout
autre critère discriminatoire en vigueur dans ue société, tout le monde devrait avoir un accès libre
à une même tribune de la libre expression et de la même manière que d’autres y
accèdent.
Etant
donné que l’expression d’opinion reposait sur certaines valeurs
citoyennes, la parole donnée aux gens de couches sociales diversifiées aiderait
non seulement notre société à faire entendre plus haut et encore plus loin sa
voix mais aussi d’accélérer son processus de développement par des actions
civiques.
Etant
donné que certains droits étaient attachés à l'être humain, pourquoi ne pas
alors renforcer le lien de celui de la liberté d'expression à des peuples
abandonnés et ainsi les aider à occuper leur espace pour des fins civiques ?
Mieux
vaut tard que jamais. dit-on.
Aucun
droit ne serait aliénable pour un être humain, moins encore celui promu dans
une déclaration universelle des droits humains (DUDH).
Oui,
c'est encore possible
La
majorité peut encore occuper son espace longtemps spolié, aidons-la à l'occuper
grâce à une campagne dite «Speak »
Et
pour #BloGoma, c’est la libre expression qui se garantie pour tous.
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